2024

Souvent, les tragédies agissent comme des révélateurs. 

Derrière les drames collectifs nos politiques apparaissent pour ce qu’ils sont vraiment avec leur manque de courage, leurs envergures racornies à l’égo, leur vanité qui les rend sourds et aveugles au monde.

Parfois, plus prosaïquement, c’est leur seul intérêt qui les pousse à renier l’évidence. Le réchauffement climatique, le malheur du monde, l’humanisme élémentaire. Nul besoin d’être de gauche pour ça…

Tant que cela ne les atteint pas, tout va bien, la corde tient encore.

Aux grands drames on espère de grands hommes. Des Churchill, Nelson Mandela, de Gaulle ou Zelenski. Des femmes aussi, des Golda Meir, Angela Merkel, Simone Veil ou des Greta Thunberg. 

Qu’on les approuve ou pas n’est pas la question. 

Comment relever les défis du siècle avec des vaniteux? Comment imposer la paix dans les pays ravagés par la haine s’il n’y a que des roitelets soucieux de leurs intérêts et adeptes des boucs émissaires? Des tyrans plus ou moins psychopathes inconditionnels du Moi d’abord?

Pour l’année qui vient je nous souhaite du cœur.

C’est du coeur que naît le courage

L’amour aussi

Laisser un commentaire